La flamme souverainiste ne s’éteindra jamais. Elle est alimentée par le souvenir impérissable de la passion de René Lévesque pour Québec le pays !
Il faut l’entendre lors de sa rencontre avec les étudiants du Collège Scarborough en 1968 pour constater sa foi en un avenir plus juste, plus légitime qui assurerait la prolongation dans le temps, de notre langue française et de nos traditions séculaires, de notre culture.
Lors de cet événement, il est manifeste que Le chef du PQ voulait et les années subséquentes en feront la démonstration, il a toujours voulu que le pays qu’il proposait soit inclusif plutôt que le contraire. Ce jour là il a établit clairement que le projet souverainiste n’était pas contre qui ni quoi que ce soit mais pour l’évolution du peuple québécois depuis trop longtemps, empêché par un carcan politique de se réaliser pleinement dans une société sociale-démocrate favorisant dans tous les plis et replis d’une société distincte, la créativité, l’originalité mille fois démontrées, des québécois et québécoises ici et dans le monde.
Je crois que son mandat de réalisateur de La Nationalisation de l’électricité a constitué le fondement de sa vision d’un Québec souverain, Qu’il ait dû vivre trois campagnes électorales avant de retrouver un siège à l’Assemblée nationale suscite l’admiration des souverainistes. À la barre d’un gouvernement social-démocrate composé d’hommes et de femmes animé(e)s d’une volonté sans faille de réussir, il présidera une modernisation de l’état québécois avec l’adoption de lois qui offriront à la population québécoise des services essentiels lesquels, après plus de quarante (40) années sont toujours très appréciés des québécois et québécoises.